A Maman
on sommeil fut léger
Aussi léger qu’une plume
Et très vite alerté
Au moindre de nos rhumes
Au pays de tes rêves
Evanouis par nos pleurs
Tu supportas sans trêve
Des années de labeur
Je rends ici hommage
A ma douce maman
A son immense courage
Et à son dévouement
Merveilleusement altruiste
Et donnant sans compter
Dans un verre d’améthyste
Pour ne pas perdre pieds
Tu as mené ta vie
Sans tambour , ni trompette
Discrète comme une souris
Mais joyeuse à la fête
Et aujourd’hui encore
Tu débordes d’énergie
Tu es toujours d’accord
Pour faire une sortie
Le troisième age concerne
D’autres personnes que toi
Se sentant vite en berne
A qui on sonne le glas
Tu es tout le contraire
Et ta jeunesse d’esprit
N’y est pas étrangère
Puisque tu croques la vie.
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